Des bombes laser

Lockheed Martin (NYSE: LMT) a reçu un contrat de 22,8 millions de dollars de la US Air Force au nom de la US Navy pour la production de kits de bombe guidée (LGB) Paveway IIPlusLaser. Le prix comprend des kits de guidage et des groupes de feuille d’air (kits de queue) pour les LGB à configuration GBU-12 (500 livres), dont la livraison est prévue pour le quatrième trimestre de 2019. Ce contrat fait suite à l’attribution du contrat LGB de 131 millions de dollars de l’exercice financier 2017 de la US Air Force. Lockheed Martin a obtenu la neuvième majorité consécutive des fonds disponibles dans le cadre du concours annuel de la US Air Force. «Les Paveway IIPlusLGBs de Lockheed Martin répondent aux besoins de la guerre de la marine américaine dans l’environnement opérationnel difficile d’aujourd’hui», a déclaré Joe Serra, directeur des systèmes guidés par précision chez Lockheed Martin Missiles and Fire Control. «Nous sommes fiers de pouvoir répondre à la demande croissante à un rythme de livraison permettant des opérations aériennes navales couronnées de succès dans le monde entier.» Ouvrir la voie IIPlus inclut un package de guidage amélioré qui améliore la précision par rapport aux anciens LGB. Lockheed Martin est un fournisseur qualifié de kits Paveway II LGB depuis 2001 et a livré plus de 100 000 kits à ses clients. En plus du Paveway IIPlusLGB, l’usine de production de 350 000 pieds carrés de Lockheed Martin à Archbald, en Pennsylvanie, est le seul fournisseur de munitions pour la munition d’attaque directe Enhanced Laser Guided Training Round et Paragon ™. Lockheed Martin a livré plus de 160 000 sessions de formation et 7 000 kits LGB bimodaux à la US Navy, au Corps de la Marine, à la Force aérienne et à 24 clients internationaux. A propos de Lockheed Martin Lockheed Martin, dont le siège social est situé à Bethesda, dans le Maryland, est une entreprise mondiale de la sécurité et de l’aérospatiale qui emploie environ 97 000 personnes dans le monde. Elle est principalement spécialisée dans la recherche, la conception, le développement, la fabrication, l’intégration et la maintenance de systèmes de technologies avancées, produits et services. A lire en détail sur vol en L39

L’avion de chasse SU-33

Les qualités aérodynamiques furent augmentées grâce notamment à l’adoption d’une aile dite ‘intelligente’ modifiant d’elle-même son profil, son bord d’attaque étant ‘souple’ (une première pour un chasseur). La surface de la voilure, des empennages et des plans canards a été augmentée. L’équipage se compose désormais de deux membres assis côte-à-côte, la capacité en carburant ayant augmenté, vol en avion de chasse la distance franchissable a augmenté de 20 %. Les réacteurs sont désormais à poussée vectorielle. L’équipage bénéficie d’un système de retraitement de l’air et a à sa disposition divers systèmes d’acquisition des objectifs. En 2011, l’armée populaire de libération a présenté le J-15 Flying Shark dérivé du Soukhoï Su-33. Jerome M Conley, Indo-Russian Military and Nuclear Cooperation: Lessons and Options for U.S. Paul Eden (éditeur), Encyclopedia of modern military aircraft, Londres, Amber Books Ltd, 1er juin 2006, 512 p. Yefim Gordon et Peter Davison, Sukhoi Su-27 Flanker, vol. Williams Mel (éditeur), Superfighters: The Next Generation of Combat Aircraft, Londres, AIRtime Publishing Inc., 2002, 144 p. « ukhoi ‘Super Flankers’ ». Son nom, Scaf, en dit long sur son potentiel. Il s’agit du Scaf, système d’avion de combat du futur, qui est développé par Airbus Defence and Space, à travers un partenariat entre Paris et Berlin. Le Scaf est au coeur de la souveraineté européenne en matière de défense. Il associe un avion de combat, des drones, des avions existants encore en service après 2040, de futurs missiles de croisière et des drones évoluant en essaim. Il sera connecté à des avions, des satellites, des systèmes de l’OTAN et des systèmes de combat terrestres et navals. Le projet entre en phase de conception a précisé le patron d’Airbus Defence and Space, l’allemand Dirk Hoke: « Nous saluons expressément le prochain lancement d’une étude conceptuelle commune pour le Scaf, avec des compétences et responsabilités clairement définies ». Et de conclure: « Nous sommes prêts à contribuer à la réussite de ce projet, tout en étant parfaitement conscients de la responsabilité que cela implique pour le paysage industriel allemand et français ». La ministre française des Armées, Florence Parly, avait annoncé mardi le lancement l’an prochain des études autour de démonstrateurs, étape préliminaire pour le développement du Scaf. Un premier contrat d’étude d’architecture et de concept devrait être passé dès janvier pour déterminer ce que sera l’avion et combien de drones y seront associés, avec Dassault Aviation et Airbus en « co-leadership ».

FLANKER s’utilise seul ou en association avec un régulateur de la croissance des insectes (voir la notice détaillée). FLANKER agit par contact et ingestion sur les cicadelles et les acariens (larves et adultes). FLANKER permet un arrêt immédiat du développement de la population au stade larvaire comme au stade adulte. FLANKER permet de couvrir la plus grande partie des éclosions au stade larvaire et de prévenir la recolonisation des populations ailées en provenance d’autres parcelles non traitées. Son efficacité contre les acariens permet de l’intégrer également dans un programme d’intervention contre ces ravageurs. FLANKER a un impact modéré sur la faune auxiliaire, notamment sur Typhlodromes. Sans impact sur la fermentation, la composition des moûts et des vins, les qualités organoleptiques des vins et eaux de vie. Avant toute utilisation, assurez-vous que celle-ci est indispensable. Privilégiez chaque fois que possible les méthodes alternatives et les produits présentant le risque le plus faible pour la santé humaine et animale et pour l’environnement, conformément aux principes de la protection intégrée. Respecter les usages, doses et conditions d’utilisation pour éviter les risques pour l’homme et l’environnement. Les préconisations d’emploi mentionnées sur l’emballage ont été déterminées en fonction des caractéristiques du produit et des applications pour lesquelles il est préconisé. Tout emploi pour un usage non autorisé est interdit.

Remplacer un avion efficace est souvent loin d’être une sinécure. C’est certainement ce que sont en train de découvrir depuis quelques années les ingénieurs russes. Dernier écueil en date leur volonté de trouver un successeur digne de ce nom à l’intercepteur biréacteur lourd Mikoyan MiG-31 en service depuis l’époque soviétique et qui commence à montrer des signes de fatigue. Les récents accidents de l’avion en attestent, autant que son interdiction temporaire de vol l’an dernier. Le futur avion sur lequel ils travaillent depuis quelques années est connu actuellement en tant que MiG-41. Essayons d’y voir un peu plus clair à son propos. Car le MiG-41 a semble t-il été dans la majorité des conversations au cours du salon aéronautique russe MAKS 2017 qui vient juste de se terminer à Moscou. Et chacun des nombreux médias pro-Kremlin présents y sont allés de leurs commentaires à son sujet. Mais au fait à quoi ressemble t-il ce MiG-41 ? Flounder (Polochon en français) est un personnage assez important du fameux dessin animé de Disney La Petite Sirène, inspiré du conte classique d’Andersen du même nom. Dans cette histoire, Ariel est une jeune sirène aventureuse passionnée par le monde des humains. Lors d’une tempête, elle sauve le prince Eric de la noyade et tombe immédiatement amoureuse de lui. Désespérée de ne pouvoir le revoir, elle va voir la sorcière Ursula pour passer un marché. Celle-ci lui donne des jambes en échange de sa voix mais surtout Ariel n’aura que trois jours pour qu’Eric tombe aussi amoureux d’elle et l’embrasse sinon elle deviendra l’esclave d’Ursula pour toujours. Flounder est un petit poisson exotique et un ami fidèle d’Ariel. Il est le seul à l’avoir toujours soutenu dans son obsession pour le monde des hommes. Il lui offre même une statue d’Eric à un moment. Bien que ne pouvant la suivre sur Terre, il fait tout pour se tenir au courant de progrès d’Ariel avec le prince. Contrairement à ce qu’indique son nom, Flounder est un poisson tropical (flounder est le nom d’une espèce de poisson en anglais) et on retrouve bien cela sur sa figurine. Il est représenté de face, son corps entier ayant globalement la forme de la tête d’une figurine pop. On retrouve ses grands yeux noirs avec des sourcils et un sourire de côté légèrement dessiné qui lui donne un air très expressif. Son petit nez est marqué légèrement en relief. Son corps est principalement jaune avec des rayures bleus. Funko a aussi bien sûr représenté ses nageoires, son aileron et sa queue, toutes d’un même bleu.

Les bans ont été publiés hier. Dans 15 jours, je serais en train d’enfiler ma jolie robe (enfin si maman arrive à la finir à temps). Depuis le 25 août, je ne pense qu’à l’organisation de ce mariage. Depuis, le 25 août, j’ai envie de vous parler des préparatifs: la déco de table, ma recherche de cape, nos vêtements, le menus… tout! MAIS je ne peux pas partager ça avec vous parce que mes deux sœurs lisent le blog. Certes l’une d’elle est ma témoin et sait presque tout. Mais l’autre ne sait rien et j’aimerais bien qu’elle le découvre le jour J. Du coup, vous êtes puni(e)s! A J-15, on en est où? Le marié a sa tenue complète (on attend le manteau pour aujourd’hui ou demain). La Chipie a sa tenue complète (il manque juste la ceinture qu’il faut que je fasse). La robe de la Pipelette devrait arriver bientôt (croisez les doigts!). L’appareil est pour l’instant propulsé par 2 AL-41F1 dérivés de l’AL-31F. Leur poussée à sec est inconnue mais elle serait de 14,7 tonnes unitaire en PC. Les tuyères sont quant à elle à poussée vectorielle dans le plan vertical. Néanmoins vers 2020 des réacteurs de 16 tonnes de poussée unitaire devraient les remplacer. Le PAK-FA est armé d’au moins 1 canon de 30 mm (un deuxième est parfois évoqué) et emporte des missiles air-air longue portée et moyenne portée K-77M, des missiles air-sol Kh-38M ou antiradar Kh-58UShK. Il dispose également de bombes guidées KAB-250 de 250 kg dotées d’un récepteur GPS. 8 à 10 missiles peuvent être embarqués dans 2 soutes disposées en tandem, longues de 4,7m et larges d’1m. L’appareil comporte également 6 points d’emport (4 situés sous les ailes et 2 sous les entrées d’air). Un carénage long de 4,5 mètres situé dans l’apex est susceptible de contenir un missile air-air ou des systèmes électroniques.

Pour une fois, j’ai souhaité réaliser un appareil FRANÇAIS Monsieur ! Les maquettes d’appareils français modernes ne sont pas légions, et les modèles quand ils existent ne sont pas très appétissants au sortir de la boîte. C’est pourquoi j’ai profité de la rediffusion du Mirage F1 par Italeri pour construire non pas un, mais deux Mirage F1. Un F1CT et un F1CR ! Juste histoire de rattraper un retard honteux dans ma collection. C’est pourquoi mon CT porte l’insigne du Régiment de chasse 01.030  » Normandie-Niemen « , alors que mon CR porte la  » Cocotte  » de l’escadron de reconnaissance 02.033  » Savoie « . Le kit redistribué par Italeri est tout à fait honorable, mais réaliser un F1CT au Standard T2 et un F1CR au Standard F7 va demander quelques petites modifs personnelles. Cela implique de changer la forme des blocs gonio sur la dérive ! De même, les équipements tels que lanceurs bi bombes et bombes lisses de la boîte ne sont plus au goût du jour dans l’Armée de l’air française. J’ai utilisé le lanceur AUF2 et des GBU-12 de chez  » SMDS  » de très belle facture. Ce lanceur français est d’autant plus difficile à trouver… qu’il est français justement ! Comme j’aime toujours les avions lourdement armés, j’ai opté pour une configuration qui déplaira aux vrais fans des lignes pures du Mirage F1. … sans les missiles MAGIC II.

Consultez notre site Web pour en savoir plus sur bapteme en avion de chasse.

Plus de pays interdisent le Boeing 737 MAX pour des raisons de sécurité

Les autorités de l’aviation civile de Singapour ont interdit la famille Boeing 737 MAX de son espace aérien à la suite d’un accident d’avion en Éthiopie. L’interdiction entre en vigueur le 12 mars 2019 à 14h00, heure locale. La CAAS (Autorité de l’aviation civile de Singapour) a annoncé « la suspension temporaire de l’exploitation de toutes les variantes du Boeing 737 MAX à destination et en provenance de Singapour à la suite de deux accidents mortels impliquant un Boeing 737 MAX en moins de cinq mois ». Cette décision intervient après le crash d’un Boeing 737 MAX 8 d’Ethiopian Airlines à Addis-Abeba peu après le décollage du 10 mars 2019, faisant 157 morts. L’autre accident impliquant le même modèle d’avion s’est produit le 29 octobre 2018, lorsque le vol Lion Air avec 189 personnes à bord s’est écrasé dans la mer après 13 minutes de vol. Les deux avions avaient été livrés à leurs compagnies aériennes respectives quelques mois seulement avant l’accident.

Selon la CAAS, cinq compagnies devraient être touchées par l’interdiction: SilkAir, la filiale régionale de Singapore Airlines, China Southern Airlines, Garuda Indonesia, Shandong Airlines et Thai Lion Air. Tous les cinq exploitent des Boeing 737 MAX à destination et en provenance de Singapour. Singapour a déclaré être « en étroite communication avec la Federal Aviation Administration des États-Unis et d’autres autorités de réglementation de l’aviation, ainsi qu’avec Boeing ». Quant à la fin de la suspension, elle devrait intervenir lorsque «les informations de sécurité pertinentes seront disponibles».

Silkair a réagi à l’annonce dans une publication sur Facebook. « Les six appareils ont été immobilisés à Singapour et ne seront pas remis en service jusqu’à nouvel ordre », a déclaré la compagnie aérienne régionale, ajoutant que « le retrait du service de la flotte du 737 MAX 8 aurait une incidence sur certains horaires de vol de la compagnie. » ” Après que la Chine, l’Amérique latine, l’Indonésie et maintenant Singapour ont décidé de suspendre les opérations aériennes, un tiers de la flotte mondiale de 385 Boeing 737 MAX 8 est actuellement immobilisé au sol. Bien qu’aucun des 27 MAX 9 en service ne soit exploité dans des pays où un échouement a été ordonné, l’interdiction d’espaces aériens concerne les deux variantes. La Federal Aviation Authority (FAA) des États-Unis considère toutefois toujours que la preuve est insuffisante pour immobiliser le parc de 737 MAX. « Si nous identifions un problème de sécurité, la FAA prendra des mesures immédiates et appropriées », a déclaré l’autorité. Il a demandé à Boeing d’apporter des modifications au logiciel MCAS et au système de contrôle conçu pour empêcher les aéronefs caler d’ici avril 2019.

Plus tard dans la journée, l’Autorité de la sécurité de l’aviation civile australienne a annoncé qu’elle suspendait temporairement l’exploitation de Boeing 737 MAX depuis ou vers l’Australie. « Bien qu’aucune compagnie aérienne australienne n’exploite le Boeing 737 MAX, deux compagnies aériennes étrangères transportent ces types d’aéronefs en Australie. » L’un d’entre eux est SilkAir, dont les avions sont déjà immobilisés par les autorités de Singapour. La seule nouvelle compagnie aérienne touchée est Fiji Airlines. «C’est une suspension temporaire, alors que nous attendons davantage d’informations pour examiner les risques que présente la poursuite des opérations du Boeing 737 MAX pour aller à l’Australie, en provenance et à destination de la sécurité», a déclaré Shane Carmody, PDG de CASA et directeur de la sécurité aérienne. En Inde, la Direction générale de l’aviation civile (DGCA) a annoncé le 11 mars 2019 qu’elle ne mettrait pas le Boeing 737 MAX au sol pour l’instant. Au lieu de cela, des «mesures de sécurité provisoires» ont été ajoutées aux mesures prises à la suite de l’accident de Lion Air. Deux sociétés indiennes utilisent cet avion: SpiceJet exploite treize Boeing 737 MAX 8 et Jet Airways cinq. SpiceJet a décidé de poursuivre l’exploitation de l’avion, au motif qu’il avait déjà «mis en œuvre toutes les mesures de précaution supplémentaires, conformément aux instructions de la DGAC». les avis pouvant être publiés. « 

Ou effectuer un bapteme de l’air en avion de chasse

où et comment prendre son envol dans un chasseur? Vous recherchez des sentiments assez forts pour être passionné d’aviation? Le combattant répondra très facilement à ces deux exigences pour vous aider à rester une minute de pure adrénaline complètement inoubliable! Voici comment vous pouvez effectuer un vol en avion de chasse en France dans l’avion le plus merveilleux dont les performances sont à couper le souffle. S’ils doivent donner ou peut-être s’amuser, le premier vol de l’avion de chasse reste gravé dans la mémoire de manière permanente. L’invention de votre voiture aérienne, du cockpit, l’audio déployé à l’allumage de vos moteurs, les toutes premières sensations procurées à l’achat-loin et bien d’autres. Ce sont tous des facteurs qui peuvent vous inciter, comme passionnés d’aéronautique, à faire voyager un avion par un chasseur. C’est à bord d’un Fouga CM-170 Magister que vous aurez à nouveau besoin d’une place assise à l’arrière, à la manière d’un co-aviateur. Développé à partir de l’Aerospatiale-Potez dans les années 1950, le Fouga Magister avait pour but de s’inscrire dans la formation des aviateurs militaires. Au total, environ 1000 copies ont été réalisées. Il est très facilement connu grâce à son empennage de papillons. Il s’agit d’un avion à réaction qui fournit la Patrouille de France depuis 24 ans de 1956 à 1980. Ses capacités sont déjà largement recommandées par les pilotes d’aérobics et de nombreuses patrouilles en ont fait leur équipement favori. Quand vous avez adoré le Fouga Magister sous tous ses aspects, vous pouvez vous attendre à vous reposer du cockpit à l’endroit réservé au copilote, c’est-à-dire celui qui vient d’être associé à l’aviateur. Vous serez déjà plongé dans cet univers, équipé d’une combinaison avant de rouler. Vous serez ligoté et le cockpit se fermera. L’aviateur démarrera les deux moteurs et fera exploser le Fouga Magister! Vous allez atteindre rapidement un taux remarquable de 300 km / adrénaline et il gérera tout votre corps de haut en bas! Si le conducteur a envie de vous mettre à la vue, il peut effectuer de belles acrobaties! Mais je me suis vu à la place de Maverick survoler le paysage pendant des centaines d’heures. En bon fan de « Top Gun », c’est un peu kitsch, je le sais. Cette énergie qui pousse quiconque au fond (raison de moi la phrase), mais c’est tellement précis! Le partage continu avec tous les pilotes, adorable en outre, entendre chaque attente et chaque sensation (ce qui s’avère être vraiment essentiel, car chaque fonction comporte ses propres restrictions, j’en suis consciente, c’est pourquoi je visite- En haut) Le document de l’Albatros vers la mer , le coeur reste serré, la passion est immense, nous voyageons au-dessus de la magnifique campagne vue de précédemment. Les randonneurs du dimanche font d’énormes symptômes juste en bas, non loin de nous … Nous les renvoyons tous avec un battement d’ailes. C’est maladroit comme souvenir, mais j’aime bien considérer les avions qui passent et j’espère aussi qu’ils pourront me voir aussi! Nous voyageons sur les calanques, le panorama change, l’eau listée ci-dessous, magnifique! Nous avons maintenant le sentiment que les gens ont généralement terminé cela, nous ne faisons qu’union avec la compagnie aérienne. L’aviateur explique ensuite comment s’occuper de la prise en charge, nous montre une manœuvre, un converti restant avec un virage approprié et que j’acquiers ainsi un temps inoubliable, intense et chargé, je voyage! Puis il clarifie à mon avis la meilleure façon de faire « un tonneau », fonctionne (non sans être inquiet), on descend tout droit, là-bas, il se force les mains et les poignets dans le flux d’air et me jette un « tu découvres que c’est toi des disques durs! Ah oui, inexplicable étant une sensation, tout simplement incroyable! La souplesse d’expression assume tout ce qui signifie! Et après cela, 8 minutes s’affichent en observant des acrobaties naturelles (et je peux donc jurer que 8 minutes, c’est long !! !!), où j’ai encaissé 6G, solide la dame! Écrasé dans mon siège éjectable, la protection de la tête bien appuyée, le bras gauche pèse plusieurs dizaines de kilos, le désir suprême est précis, je profite pleinement de chaque minute et de chaque éclosion. La perturbation dans le réacteur qui augmente chaque fois que le G se présente, la vue de l’eau que les gens ressentent pour pouvoir ressentir, la sensation est indicible, tout ce que je peux dire, c’est la pratique, c’est grand! ! Ensuite, un retour paisible pour endurer ses pensées intérieures, un atterrissage en douceur et les plus belles 30 minutes de mon bien-être qui s’arrêtent … une demi-heure de vraie adrénaline et de bonheur! Le 1er ft. sur la terre est sans aucun doute le tout premier gentleman qui est entré dans la lune … inhabituel! Plus qu’une obsession solitaire: recommencez! Pendant 7 jours, j’avais besoin de la tête des nuages ​​(et je n’exagère pas), tous mes sentiments étaient à 500 km / h et 6G! Quel a été le dernier verdict? Le verdict final est simple: dès que je peux, je recommence! Minuscule problème à intégrer, un grand merci à tout le groupe sur place qui fait une merveilleuse carrière, qui consiste à réaliser des désirs réalisables! Je vous laisse le lien vers le site spécialiste du vol en avion de chasse.

Piloter le MiG-35

En outre, il existe des réservoirs de carburant fixés dorsalement (derrière le poste de pilotage) et à l’endroit où les ailes rencontrent le fuselage. La capacité de carburant interne a été portée à 950 litres, ce qui augmente le rayon de vol normal à 2000 km. La principale source des données aériennes et au sol est le radar Zhuk-AE. Un radar AESA (active electronically scanned array) peut repérer des cibles aériennes à une distance de 160 km et à 300 km pour les navires de surface. Le radar peut suivre 30 cibles simultanément et attaquer 6 d’entre elles. Les radars du type antérieur, PESA (passive electronically scanned array), avaient une antenne en forme de cône tournant à 360 degrés pour diriger les ondes radar en un faisceau étroit. Le panneau de l’antenne du radar AESA sur le MiG-35 est composé de 1000-2000 modules TR (émetteurs-récepteurs). Les modules sont disposés dans le nez, l’aile ou le fuselage, et fonctionnent indépendamment l’un de l’autre. L’aérofrein, les volets, le radar, les systèmes électroniques et l’armement ont été supprimés pour l’alléger (gain total d’une tonne), et l’avion a été pensé pour améliorer l’aérodynamisme. Les vols s’effectuaient à partir d’une base du Dakota du Nord, en n’emportant qu’un minimum de carburant. Le Streak Eagle a battu huit records, la plupart d’entre eux ont ensuite été améliorés entre 1986 et 1988 par le Sukhoï P-42, version de record du Su-27. Montée à 30 000 m en 208 secondes. Boeing a présenté en mars 2009 un nouveau démonstrateur de son chasseur de supériorité aérienne baptisée Silent Eagle. Celui-ci est destiné à assurer la transition entre les F-15 et les F-22. L’emport d’armes en soute, des stabilisateurs verticaux inclinés à 15°vers l’extérieur et un nouveau revêtement permettent à l’avion de se doter de capacités furtives, le radar a été amélioré et la cellule a été allégée. ] et le Japon se sont déjà montrés intéressés.

Cependant, ce chasseur complexe nécessite le développement d’un appareil complémentaire de plus petites dimension, capable de s’opposer aux YF-16 ou YF-17, tout en remplaçant efficacement les MiG-21, MiG-23, Su-7 et Su-17. En 1971, sur recommandation du bureau d’étude Mikoyan-Gourevitch, les VVS soviétiques lancent le programme LFI (Logkii Frontovoi Istrebiyel) afin de se procurer un appareil léger tout en étant extrêmement manœuvrant, capable d’opérer à partir de terrains peu aménagés. Sa tâche principale consiste à la défense aérienne des premières lignes de front, avec des capacités air-sol limitées. Cet emploi essentiellement tactique explique la rusticité et la faible autonomie des premières versions, vol en Mirage d’ailleurs non-ravitaillables en vol. Il est alors prévu que le LFI doit composer les 2/3 de la future flotte de chasse (le PFI – le Su-27 – assumant le dernier tiers). Le programme aboutit finalement à l’Izdelye 9, baptisé MiG-29. Les ingénieurs de MiG, menés par Mikhaïl Waldenburg, suivent les recommandations du TsaGi, dont les données aérodynamiques ont déjà servi au Flanker. Cela explique en partie pourquoi le MiG-29 peut sembler être une réduction du Su-27 : larges apex, 2 dérives, 2 conduits d’air proéminents pour 2 réacteurs. Londres et Berlin ont bien fait valoir qu’ils pouvaient remettre une nouvelle offre plus basse pour contrer celle des Français, mais c’est peine perdue. C’est très précisément le message que fait passer ce vendredi le Times of India, alors même que les Indiens affirment avoir appliqué des règles de totale transparence dans la détermination du mieux-disant. Le journal Sunday Telegraph expliquait dimanche dernier que les Britanniques ne doivent imputer la défaite de l’Eurofighter Typhoon à personne d’autre qu’à eux-mêmes. Chez Dassault, on se refuse à tout commentaire. 126 Rafale, ou plutôt 200 ? On sait que les 126 Rafale dont elle va commencer à négocier l’achat pourraient être complétés par 74 autres exemplaires, ce qui porterait la commande totale à 200 avions. De plus, l’Inde a passé commande de 272 avions russes Sukhoi SU-30, dont la version Su-30MKI est capable de porter l’énorme missile air-mer BrahMos et sans doute des bombes nucléaires. On sait aussi que l’Inde possède des Mirage 2000, dont la modernisation par l’industrie française vient d’être décidée, et qu’elle a développé avec l’aide américaine son LCA Tejas, un petit chasseur multirôle qu’elle prévoit d’acquérir à 260 exemplaires.

Tout comme le Su-27, le Su-33 est un intercepteur performant ainsi qu’un excellent chasseur en combat rapproché. Son pilote approche les cibles de haut en utilisant au maximum les informations fournies par les AWACS et les stations radar au sol. A l’aide de ses excellents capteurs infrarouges, il peut attaquer furtivement les appareils ennemis et tirer ses R-27ET à une portée pouvant excéder les 100 km ! A pleine charge, le Su-33 est un avion pataud : Il est lourd et délicat à manoeuvrer. Dans une telle configuration, son pilote évite donc toute altercation nécessitant des manoeuvres serrées. Lorsque le combat tournoyant devient inévitable, il n’hésite pas à se délester de son important armement air-sol pour retrouver une maniabilité comparable à celle du Su-27. Disposant d’une autonomie bien supérieure à celle du MiG-29 et pouvant être ravitaillé en vol, le Su-33 peut pénétrer profondément derrière les lignes ennemies afin de neutraliser des pistes et installations clés. Assistés par des appareils anti-radar tel que le Su-25T, les Su-33 se faufileront jusqu’à la cible pour délivrer leur charge offensive avant de disparaître aussi vite que l’éclair. Le Su-33 est également capable d’emporter le missile anti-navire Kh-41 pour partir à l’assaut d’une flotte ennemie. Afin de maximiser les chances de réussite d’une telle attaque, il est fréquent d’attaquer à plusieurs. Car un croiseur moderne réussira probablement à contrer quelques missiles à l’aide de ses tourelles automatiques et missiles anti-missiles ! Dans la réalité, les Su-33 ne sont cependant pas utilisés pour attaquer les navires.

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Le Fury Drone de Lockheed Martin

L’entreprise américaine de défense Lockheed Martin a effectué des essais en vol pour son drone Fury. Celui-ci a démontré une autonomie fiable de plus de 12 heures.

Pour Lockeed Martin, le lancement de la production de son drone Fury approche à grand pas. Au cours des douze derniers mois, la première entreprise américaine et mondiale de défense et de sécurité a en effet réalisé avec succès des séries d’essais de son tout dernier drone d’observation.

Ce dernier a été conçu dans l’objectif de remplir des missions de surveillance électronique, de reconnaissance et de renseignement. Doté d’une hélice silencieuse et d’une envergue de plus de 5,2 mètres, Fury se distingue par son allure très minimale. Sa charge utile peut atteindre 91 kg, ce qui en fait l’un des plus performants de la catégorie des UAS (Unmanned Aerial System) du groupe 3. Le Groupe 1 étant composé des drones légers lancés à la main type RQ-11 Raven, le groupe 5 étant celui des gros calibres type Reaper ou Global Hawk.

Fury n’a nul besoin d’une piste pour décoller ou atterrir. Au lieu de cela, il est tiré dans l’air par une catapulte mobile étendue qui s’accroche à l’arrière des véhicules au sol comme une remorque. Pour l’atterrissage, Lockheed utilise un système dit de « récupération expéditionnaire », qui réceptionne le système sans pilote dans un gigantesque filet.

On sait également que la DARPA, agence du département de la Défense des États-Unis, travaille actuellement sur un système intelligent appelé le SideArm, capable de lancer et récupérer Fury à partir d’un rail placé au bout d’un bras télescopique. Ce qui permettrait de faire planer Fury dans quasiment toutes les situations, aussi bien sur terre qu’en mer.

Ainsi, le gros point fort de Fury est son endurance. Il peut voler jusqu’à 12 heures à 5000 mètres d’altitude pour une charge d’utile de presque 100 kg, ce qui nécessite généralement un drone plus grand. C’est donc un outil redoutable pour les troupes au sol qui peuvent s’appuyer sur le drone pour des mission d’ISR (Intelligence, Surveillance, Reconnaissance) et de guerre électronique. Pour la propulsion, son moteur silencieux a été testé avec succès.

Plus petit, moins cher et plus flexible, le Fury pourrait donc commencer à effectuer quelques-unes des missions de l’armée américaine. Lockheed Martin souhaite augmenter sa production dans les mois à venir. Comme ses principaux concurrents, tels que Boeing, General Atomics ou Northrop Grumman, la société poursuit donc sa conception de différents produits dans lesquels l’électronique et la technologie jouent un rôle déterminant.

En 2010, sur ses 45,8 milliards de dollars de chiffre d’affaires, 17,3 milliards provenaient de contrats signés avec l’administration américaine (10,9 milliards dans la défense, 6,6 milliards dans le civil).

En 2013, nous avions évoqué leur futur projet de drone de combat propulsé à partir d’un porte-avions, destiné à l’US Navy pour ses opérations de surveillance et de soutien aux troupes. Le projet prévoit de développer un aéronef doté de capacités d’endurance et de maniabilité lui permettant d’exécuter des opérations dans n’importe quel type d’environnement. La firme prépare aussi secrètement son SR-72, un drone militaire hypersonique qui ne sera pas prêt avant 2030. Sa propulsion correspondrait à six fois la vitesse du son…

En attendant, le groupe aéronautique devra rééquilibrer ses comptes. Celui-ci a publié le 25 avril dernier des ventes trimestrielles inférieures aux attentes, accompagnées de marges d’exploitation en baisse dans plusieurs secteurs d’activité. L’action du premier fournisseur de l’armée américaine a en effet reculé de 1,8% à 271,25 dollars dans les premiers échanges à Wall Street. Mais ça ne devrait pas durer, si on prend en compte la dernière annonce faite au Congrès par l’administration Trump qui souhaite relancer la vente d’avions de chasse F-16 (produits par Lockheed Martin) à Bahreïn. L’an dernier pourtant, Barack Obama avait bloqué cet accord de cinq milliards de dollars, estimant que Manama n’avait pas tenu ses promesses d’amélioration du respect des Droits de l’Homme dans cette île du Golfe Persique.

De la simulation comme au réel

Tour à tour, prenez les commandes d’un simulateur d’avion de ligne , d’un simulateur d’avion de chasse puis d’un hélicoptère Bell 206 ! Vivez l’expérience de vol la plus complète avec ces trois philosophies du vol diamétralement opposées ! Relèverez-vous le défi ? Simulateur d’avion de ligne L’expérience sur simulateur d’avion de ligne, vous permettra de faire plusieurs tours de pistes sur les aéroports de votre choix. Réalisez le décollage et l’atterrissage après avoir visité les environs de l’aéroport, sous les conseils avisés de votre instructeur pilote professionnel. Choisissez vos destinations parmi une base de données de plus de 24000 aéroports dans le monde. Profitez des multiples paramètres de nos simulateurs pour piloter de jour, de nuit, au coucher ou lever du soleil, sous la pluie ou par beau temps. Nous composons une séance de vol selon vos envies ! Le commandant de bord, c’est vous ! Simulateur d’avion de chasse Après un rapide briefing, enfilez la combinaison du pilote de chasse pour entrer totalement dans la peau du personnage ! Aux commandes de l’un de nos simulateurs d’avions de chasse, réalisez des missions parmi les plus périlleuses. Après une bonne prise en main de l’appareil en réalisant des figures de voltige (vrilles, tonneaux, etc.), lancez-vous dans un vol en patrouille, une mission de surveillance ou dans un combat aérien acharné ! Le simulateur est la réplique d’un F-16 Fighting Falcon, l’un des avions de chasse les plus répandus et les plus performants au monde. Encore en service, il est utilisé par plusieurs armées nationales. Simulateur d’hélicoptère Après avoir réussi votre premier décollage aux commandes d’un simulateur d’hélicoptère, profitez du paysage à New York, Moscou, la Côte d’Azur ou encore le Grand Canyon. Une fois avoir bien pris en main l’appareil, tentez des destinations plus exotiques comme les plages de sable blanc de Saint Martin pour une visite grandeur nature de cette île des Caraïbes. A lire complètement sur Simulateur de Vol.

L’Iran développe un avion de combat

Certainement un pied de nez à Donald Trump et aux nouvelles sanctions qu’il veut imposer lundi à l’Iran. En tout cas, Téhéran ne lâche pas et lance la production en série du Kowsar, un avion de combat « 100 % Made in Iran » destiné à son armée de l’air, a rapporté samedi la télévision d’Etat iranienne. Défense iranien, Amir Hatami, lors d’une cérémonie retransmise à la télévision. Selon Téhéran, le Kowsar a été intégralement conçu en Iran et il sera capable de transporter une grande variété d’armements. Il pourra également être utilisé pour de courtes missions de soutien aérien. L’armée de l’air iranienne est actuellement faiblement dotée et utilise des avions de combats russes ou américains acquis avant la révolution. En Syrie, où l’Iran apporte son soutien aux forces gouvernementale, l’armée iranienne dépend du soutien aérien de la Russie. Les Iraniens avait dévoilé fin août ce nouvel avion de combat, baptisé Kowsar. Téhéran avait affirmé que ses capacités militaires sont uniquement dissuasives et visent à parvenir à une « paix durable » dans la région, en pleine tension avec les Etats-Unis sur le dossier nucléaire et l’Arabie Saoudite. Une modernisation du F-5 américain? Cet avion, entièrement conçu en Iran, est capable de transporter différents types d’armes et sera utilisé pour de courtes opérations de soutien aérien, explique l’agence de presse iranienne Tasnim. Selon cette agence de presse, le Kowsar dispose d’équipements technologiques « de pointe », dont des radars polyvalents. Il a été testé avec succès et une démonstration de vol a été diffusée par la télévision iranienne en présence du président Hassan Rohani.

Peut-on voyager avec du matériel de sport à bord d’un vol Ryanair ? Pour les équipements sportifs, comptez 40 € (60 € pour les vélos). Peut-on voyager avec un animal de compagnie à bord d’un vol Air France ? Seuls les chiens d’aveugle sont autorisés à bord des avions Ryanair. Quelle valise peut-on emporter à bord d’un vol Transavia ? Votre bagage à main ne doit pas excéder 55 x 40 x 25 cm, ni peser plus de 10 kg. Vous pouvez enregistrer un bagage en soute gratuitement sur un vol Transavia, votre valise ne doit pas peser plus de 32 kg. Tout bagage supplémentaire coûte 15 € pour 15 kg (30 € à l’aéroport). Peut-on prendre un instrument de musique à bord d’un vol Transavia ? Les petits instruments de musique (moins de 25 x 117 x 38 dans leur étui) sont gratuits en cabine. Pour les autres, il n’y a pas de supplément si spécifié au moment de la réservation, 15 € après. Peut-on voyager avec du matériel de sport à bord d’un vol Transavia ? Cependant, la disposition était différente entre le prototype et les appareils de série. Le train avant du prototype se replie vers l’arrière. Pour le train principal, chaque ensemble comprenait 6 roues et se trouvait à l’extérieur du bloc moteur. Il se repliait vers l’avant, dans l’épaisseur de l’aile, d’où la petite taille des roues. Un nouveau train d’atterrissage a été développé à partir de l’appareil de pré-production no 77101. Le train avant se replie, cette fois, vers l’avant. Des changements importants ont eu lieu sur le train principal. Chaque ensemble comprend 8 roues réparties sur 2 essieux et se situe sous les nacelles. Un espace suffisamment grand entre les 2 conduites d’air permettait de loger le train principal, une fois replié. Le Tu-144 est propulsé grâce à 4 turboréacteurs placés dans 2 nacelles se trouvant sous les ailes. Le principal problème consistait à réduire la vitesse de l’air entrant dans le moteur.

On les voit ici à côté du logo Airbus et au-dessus du nez. Pas besoin d’entrainement ni de simulateur, pas d’adaptation à la nouvelle version, c’était même l’un des arguments commerciaux en faveur de l’avion. Sur le manche, on voit (entouré en rouge) la commande permettant d’actionner le compensateur. Les roues (flèche bleu) s’activent seules et il est possible de les empêcher de bouger en posant sa main dessus. Le trim stabiliser (encadré en vert) peut être déconnecté manuellement après avoir soulevé la protection, ce qui évite d’actionner par erreur l’interupteur. Ces procédures sont parfaitement connues et documentées pour tous les pilotes, il s’agit d’une procédure de gestion de panne connue sur toutes les versions de l’avion. Sans cette action, l’avion s’est mis en descente progressive, avec un rythme de 0.27°/sec et 2° max sur une période de 10 sec. Un rythme normalement assez lent pour être contré par les pilotes, si ceux-ci appliquent la bonne procédure. Mais les nouveaux éléments nous indiquent désormais que l’avion rencontrait des difficultés depuis au moins 4 vols et qu’au moins une sonde avait été changée. Lors du vol précédant le crash, l’avion aurait rencontré ce problème et les pilotes auraient appliqué la bonne procédure, en déconnectant l’interrupteur. Voici un autre accident pour Lion Air… Celui-ci n’avait heureusement pas fait de victime… mais la compagnie a très mauvaise réputation !

Si l’enquête ne fait que commencer, le PDG de Lion Air, Edward Sirait, a tenté d’écarter la piste d’un problème technique liée à sa compagnie. Il a assuré lundi matin à l’AFP que l’appareil « a été réparé à Denpasar », sur l’île de Bali, « puis a volé vers Jakarta ». L’Indonésie, un archipel d’Asie du Sud-Est de 17.000 îles et îlots, est très dépendante des liaisons aériennes, et les accidents sont fréquents. Et la Lion Air, principale compagnie low-cost nationale, est régulièrement pointée du doigt. Il s’agit toutefois de l’accident le plus grave connue par la compagnie ces dernières années. En mai 2016, deux avions du groupe Lion Air étaient entrés en collision sur le tarmac de l’aéroport de Soekarno-Hatta, à la périphérie de Jakarta. En avril 2013, un des Boeing de la compagnie avait manqué la piste d’atterrissage à l’aéroport international de Denpasar, sur l’île indonésienne de Bali, s’abîmant dans la mer toute proche. Les 108 personnes à bord, dont 101 passagers, avaient survécu mais une quarantaine d’entre elles avaient été blessées, dont une femme grièvement. En plus de l’alimentation des réacteurs, le carburant remplit deux autres fonctions. Il est utilisé pour le centrage. Après le passage du mur du son, l’équilibre aérodynamique est modifié, le centre de portance recule. Selon la vitesse, le maintien de la température en cabine peut se faire de deux manières. En vol subsonique, la cabine est réchauffée par le prélèvement d’air sur les étages compresseur haute pression. Pour des vitesses supersoniques, la climatisation est rendue difficile par l’échauffement de la cellule en raison des frottements de l’air. Le refroidissement se fait par échange avec le carburant, prélèvement des frigories. Une surconsommation de carburant peut obliger à revenir en subsonique plus tôt que prévu afin de conserver une température acceptable en cabine. Quatre groupes de conditionnement d’air sont utilisés, mais une surveillance accrue de la température par l’officier mécanicien navigant est nécessaire pour éviter une augmentation de la température cabine non compatible avec le confort des passagers.

↑ Williams 2002, p. Le DDM-NG : un détecteur de départ missiles, mais pas que! ↑ a et b « Premier déploiement opérationnel pour le pod Damoclès sur Rafale Marine », sur Mer et Marine. ↑ Loïc, « LA NACELLE TALIOS A ÉTÉ TESTÉE DANS UN CONTEXTE OPÉRATIONNEL », Defens’aero, 14 avril 2017 (lire en ligne). ↑ a et b Emmanuel Huberdeau, « Thales propose de l’IA pour le pod Reco NG », Air & Cosmos, 7 juin 2018 (lire en ligne). ↑ a et b Cour des comptes, « La conduite des programme d’armement », Rapport public annuel, février 2010 (lire en ligne). ↑ Daniel Reiner et Xavier Pintat, « Projet de loi de finances pour 2012 : Défense : équipement des forces : IV. ↑ Daniel Reiner, Xavier Pintat et Jacques Gautier, « Projet de loi de finances pour 2013 : Défense : équipement des forces et excellence technologique des industries de défense : Chapitre IV. ] et permettra au Rafale d’exploiter pleinement le nouveau missile Meteor. Le secteur angulaire couvert a été porté de 120° à 140° en avant de l’appareil et les capacités de résistance au brouillage ont été améliorées. Le système de guerre électronique Thales-MBDA « Spectra » (Système de protection et d’évitement des conduites de tir pour Rafale) de 250 kg est le système d’autoprotection du Rafale. Le Rafale est doté d’une fusion de données complètement intégrée au système d’armes. Le Rafale est donc interopérable avec toutes les plateformes Liaison 16 et peut s’insérer dans n’importe quel théâtre d’opération interallié OTAN. Le système permet par exemple de détecter l’avion ravitailleur à 185 km et donc de rester plus longtemps sur la zone de patrouille. Snecma débute les essais du réacteur M88-2 en janvier 1984, soit 8 mois à peine après la livraison à l’Armée de l’air du 1er Mirage 2000, équipé du réacteur M53. La qualification du M88-2 est obtenue le 30 septembre 1992 après 500 heures de vol.

Découvrir Concorde

Avec le Tupolev Tu-144, il fut le seul avion supersonique de transport de voyageurs à avoir été mis en service. L’entreprise française Sud-Aviation et l’entreprise britannique Bristol Aeroplane Company développèrent respectivement leurs supersoniques Super-Caravelle et Bristol 223. Ils étaient financés par leurs gouvernements respectifs, ceux-ci tenant à contrer la domination aérienne américaine. ]. Le développement du Concorde fut donc plus un accord international franco-britannique qu’un accord commercial entre les constructeurs. L’assemblage d’un premier prototype, Concorde 001, débuta à Toulouse en avril 1966 et l’avion sortit des hangars le 11 décembre 1967 sous l’immatriculation F-WTSS, « TSS » signifiant « transport supersonique ». ]. Ce vol dura 29 minutes. Parmi les autres projets d’avions de ligne supersonique proposés, seul le projet soviétique aboutit. Concorde effectua sa première entrée dans le domaine supersonique le 1er octobre 1969 au cours du 45e vol, piloté par Jean Pinet. ]. Le programme d’essais en vol se déroulant sans incidents, cette version de développement commença les démonstrations destinées au grand public le 4 septembre 1971. Deux appareils de préproduction furent également construits pour les essais, en plus des prototypes.

Lors des missions contre des objectifs terrestres, la grande variété d’armement emportée par le Rafale lui permet dans le même temps de s’adapter aux cibles et environnements qu’il va rencontrer et qui ne sont pas toujours connues à l’avance. Cela permet d’être très réactif et de produire différents effets militaires selon la situation et le besoin. A partir de 2006, la Marine nationale – comme l’armée de l’Air – a commencé à toucher des Rafale au standard F2, ajoutant la capacité air-sol. Puis est arrivé en 2009 le standard F3, avec lequel l’avion a atteint une pleine polyvalence. Il a, dès lors, pu démontrer toute l’étendue de ses capacités lors des opérations conduites dans les années qui ont suivi. Le 31 octobre 2018, un nouveau standard a été qualifié. Il s’agit du F-3R, qui s’inscrit dans la démarche d’amélioration continue du Rafale. Dans ce standard, l’avion peut mettre en œuvre le nouveau missile européen de supériorité aérienne Meteor (MBDA). \n – Peut-on prendre un instrument de musique à bord d’un vol Ryanair ? Enregistrer un instrument de musique sur un vol Ryanair coûte 70 € ; votre instrument ne doit pas dépasser 81 x 119 x 119 cm et peser plus de 20 kg. \n – Peut-on voyager avec du matériel de sport à bord d’un vol Ryanair ? Pour les équipements sportifs, comptez 40 € (60 € pour les vélos). \n – Peut-on voyager avec un animal de compagnie à bord d’un vol Air France ? Seuls les chiens d’aveugle sont autorisés à bord des avions Ryanair. Quelle valise peut-on emporter à bord d’un vol Transavia ? Vous pouvez enregistrer un bagage en soute gratuitement sur un vol Transavia, votre valise ne doit pas peser plus de 32 kg. Tout bagage supplémentaire coûte 15 € pour 15 kg (30 € à l’aéroport). \n – Peut-on prendre un instrument de musique à bord d’un vol Transavia ?

Il faudra attendre les premiers essais de roulage et le vol inaugural de la machine le 31 octobre 2012 pour découvrir les premières images officielles de l’appareil, baptisé J-31 (renommé « Falcon Eagle » par les services américains). Monoplace, bidérive, le démonstrateur est entièrement peint en noir et arbore le numéro 31001 de chaque côté du nez. Plus petit que le J-20, ses formes ne sont pas sans rappeler la version navale du Lockheed Martin F-35C « Lightning II » de l’US Navy. Dans les couloirs du Pentagone, on crie au piratage, et certains parlementaires de Washington n’hésitent pas à dénoncer un vol de documents techniques classifiés à l’occasion d’une cyber-attaque en provenance de Chine. Le J-31 présente effectivement plusieurs points communs troublants avec le Lightning II, à commencer par ses lignes anguleuses, mais aussi un train d’atterrissage renforcé qui caractérise les avions de combat destinés à être embarqués sur un porte-avions. Comme sur le F-35, on distingue aussi deux soutes à armement internes capables d’emporter deux missiles air-air moyenne portée en plus de six points d’emport externe sous voilure. Les cocardes sont du type utilisé dans la dernière partie de la guerre, elles sont disposées sur les flancs du fuselage, à l’extrados de l’aile gauche et à l’intrados de l’aile droite. L’entrée en guerre en septembre 1939 de la Grande Bretagne et des pays du Commonwealtn devait avoir une forte inflexion sur la carrière du Bobcat. En effet, le 17 décembre 1939 est signé à Ottawa le British Commonweaith Air Training Plan (BCATP). Ce traité qui associe le Royaume Unis de Grande Bretagne le Canada, la Nouvelle Zélande et l’Australie place les écoles de formation des pilotes du Commonweaith sous le commandement de la Royal Canadian Air Force. L’objectif de ce traite est pour les Britanniques de placer les centres d’entraînement, vitaux pour le remplacement des pertes et l’augmentation des effectifs, hors de la vulnérabilité des théâtres d’opérations. Il s’agit également d’assurer une formation homogène aux pilotes et équipages des pays du Commonweaith vont être amenés à combattre ensemble et sur des matériels identiques.

La proximité du bord de fuite des ailes et des entrées d’air du moteur montées à l’arrière de la porte de chargement a posé de nombreux défis aux ingénieurs de Pilatus. Le jet a été conçu dès le départ pour des opérations de piste non améliorées, contrairement à d’autres avions à réaction adaptés à ce rôle après la certification. L’engrenage principal, robuste, à bras oscillant, est équipé de quatre grands de pneus de 73 lb/po2. Chaque roue a un frein à triple disque pour un arrêt sûr. Les moteurs sont montés haut sur le fuselage arrière pour les garder à l’écart des débris soulevés par les pneus. Les rabats ont des peaux en aluminium épais sur les surfaces inférieures et ils sont facilement réparables. Les essais finaux sur les pistes non préparées sont maintenant en cours, l’approbation étant prévue pour la fin de l’année. L’intérieur permet un aménagement rapide est un des nombreux autres atouts du PC-24 qui lui permet de se distinguer. Beaucoup d’avions sont développés en plusieurs versions et adaptés à différentes missions : par exemple, intercepteur monoplace de base avec une version biplace pour l’entraînement et une version équipée d’une crosse d’appontage et d’ailes repliables pour l’aéronavale. Les avions de combat sont souvent dotés d’armements externes à la cellule et disposent d’un radar multi-fonctions. Le même avion peut alors être utilisé pour différentes missions en fonction des emports (réservoirs largables, bombes, missiles, pods photographiques, etc.) voire être capable d’effectuer plusieurs missions au cours d’un même vol : avion multirôle. Les avions de soutien sont parfois développés à partir de versions civiles, c’est le cas de nombreux avions-école et de certains avions de surveillance ou de ravitaillement en vol. Pour un même type de mission les avions sont ensuite classés en fonction de leur caractéristiques opérationnelles (rayon d’action, vitesse, etc.) ou de leur construction. Par exemple, les performances actuelles des réacteurs ont généré deux types d’avions de combat : monoréacteur, moins de 10 tonnes ou biréacteurs, classe 20 tonnes. La Seconde Guerre mondiale et la Guerre froide ont entraîné un effort de recherche et d’innovation considérable afin d’obtenir une supériorité sur le camp adverse.

US, une opération qui lui permettra de concurrencer son rival européen Airbus dans le segment des avions régionaux. Cette annonce survient quelques jours après l’entrée en vigueur du partenariat entre Airbus et Bombardier qui a permis à l’européen de prendre le contrôle du programme CSeries, concurrent de celui d’Embraer. Le protocole d’accord entre les avionneurs américain et brésilien doit néanmoins encore obtenir le feu vert de l’État brésilien, qui dispose d’un droit de veto sur les décisions stratégiques pour l’avenir de son fleuron industriel. Une fois finalisée, cette coentreprise « vouée à l’aviation commerciale » sera dirigée par une équipe « basée au Brésil, avec à sa tête un président et un directeur général », ont-ils poursuivi. La nouvelle entité sera par ailleurs directement rattachée à Dennis Muilenburg, le p.-d.g. Au Brésil, lors des discussions préliminaires, des voix s’étaient élevées pour qu’un tel accord n’inclue pas les activités militaires d’Embraer. Pour Embraer, l’opération permettra de bénéficier de la force de frappe commerciale de Boeing. Le communiqué précise par ailleurs que cette opération devrait améliorer le bénéfice par action de Boeing à partir de 2020 et générer des économies de coûts avant impôts d’environ 150 millions de dollars d’ici la troisième année.

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Le danger des drones

Tout accident en vol avec la chose est dangereux pour les aéronefs, comme en témoigne l’accident du voyage 1549 de Airways en janvier 2009. Le capt Chesley Sullenberger a piloté un avion de transport transportant 155 personnes dans l’Hudson après que celui-ci ait eu raison d’une tête d’oies du Canada Los angeles Guardia aéroport dans la grosse pomme. Les oiseaux ont également ruiné les moteurs d’avion. La charge de toute bernache du Canada – entre 6 et 2 kg / 5 kg – est dépassée par certains drones de caméra vidéo de haute qualité. Les aviateurs ont nommé pour plus de criblage sur l’effet probable du drone avec un moteur – vérifie que les entreprises appliquent systématiquement pour les événements d’oiseaux – mais cela pourrait être coûteux. Le taux depuis le Royaume-Uni a triplé depuis 2015. Le UK Airprox Table (UKAB), qui passe au crible tous les quasi-incidents impliquant un avion d’affaires, a indiqué qu’il y avait 92 avions entre drones et avions en 2017. Ce chiffre était supérieur à 3 fois le nombre enregistré 2015: 29. En 2016, il y en a eu 71 et les détails suivent clairement l’évolution de l’utilisation des drones. Il est contraire à la législation de piloter un drone au-delà de 120 mètres ou dans un espace aérien restreint, par exemple autour d’un aéroport. Des restrictions supplémentaires s’appliquent si le drone est équipé d’une caméra. Le site de Dronesafe, contrôlé par le chien de garde de l’aviation et le contrôle des visiteurs de l’atmosphère fédérale, énonce plusieurs règles pour le pilotage de drones, y compris la surveillance permanente du drone.

Que pouvez-vous faire pour les empêcher de voyager dans les aéroports internationaux? Les prisons pourraient vous aider à trouver la solution. Des entités gouvernementales étudient la possibilité de mettre en place un système anti-drones pour mettre fin à la contrebande de substances dans les prisons de langue anglaise, à la suite d’une expérience effective d’une demi-douzaine de mois à Guernesey. Le système SkyFence bloque les indicateurs radio tout autour de la prison chaque fois que des drones sont détectés et est utilisé pour se protéger contre la diminution des médicaments administrés aux détenus. Mais brouiller les indicateurs utilisés pour gérer le drone pourrait être dangereux à l’intérieur d’un aéroport, où le risque potentiel d’une autre communication critique préjudiciable pourrait être trop élevé. Porter des personnes en danger en utilisant un drone illégalement peut entraîner une peine privative de liberté pouvant aller jusqu’à cinq ans. Cependant, la police a eu beaucoup de difficulté à identifier les opérateurs de drones repérés par les pilotes. D’où les appels en faveur d’un registre obligatoire des drones et de leurs droits. utilisateurs, et pour “geo-fencing”. Certaines sociétés de drones, dont DJI en Chine, gèrent des «zones restreintes» pilotées par le système de positionnement global, qui empêcheront les opérateurs de voler plus loin que des aéroports, des prisons et des sites sportifs. Mais même toutes ces limites peuvent être déverrouillées pour les consommateurs qui contactent l’organisation avec une autorisation appropriée – et des entreprises comme Coptersafe, en Russie, travailleront à la découverte de ceux qui sont en mesure de payer. D’autres fournisseurs de drones ont tendance à ne pas appliquer de restrictions individuelles, car ils sont une mosaïque de réglementations communautaires, internationales et nationales qui différencient les organisations de leurs obligations personnelles, ainsi que de certains types de drones dépourvus du contrôle du système Gps nécessaires pour effectuer tout type de contrôle.. A lire en détail sur: Vol en avion de chasse